Author archives: Agnès Olive

La Faune des Bouches-du-Rhône

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On ne soupçonne pas la richesse de la faune à Marseille et dans les environs !! C’est impressionnant : plus de mille espèces d’animaux d’une exceptionnelle diversité sont répertoriés. Un an après la publication de La Flore des Bouches-du-Rhône, les éditions Biotope rendent un nouvel hommage à la richesse de la biodiversité locale avec un livre événement intitulé tout simplement : La Faune des Bouches-du-Rhône. Co-réalisé par la Ligue pour la Protection des Oiseaux de Provence Alpes Côte d’Azur (LPO-PACA) et le Département des Bouches-du-Rhône, cet ouvrage de plus de 400 pages est une œuvre encyclopédique sans précédent dans la littérature naturaliste, synthèse unique des connaissances acquises sur plus d’un millier d’espèces d’animaux vertébrés et invertébrés, continentaux et marins sur notre territoire. Quelles sont les espèces présentes dans les Bouches-du-Rhône ? Quelles sont les espèces emblématiques ou insoupçonnées qui vivent sur le territoire, tout près de chez nous ? Quelles menaces pèsent sur elles et comment peut-on aider à les sauvegarder ? Vous trouverez des réponses à toutes les questions que vous vous posez dans ce grand et gros livre, exhaustif sur le sujet. Il faut dire que plus de 60 naturalistes et scientifiques ont travaillé à cet ouvrage ultra pédagogique car richement illustré (photos, cartes, schémas, monographies…) et coordonné par Aurélie Johanet et Benjamin Kabouche. Un magnifique hommage aux animaux de notre région qui nous alertent sur les questions écologiques bien évidemment ! Un beau livre à avoir chez soi posé dans le salon sur la table basse, comme une invitation à mieux connaître la nature pour l’aimer et la protéger, comme un appel à sauver la biodiversité 🙂

www.biotope-editions.com

Edeni, invitation à la transition écologique

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Voici la clé d’une transformation écologique réussie ! Edeni est né grâce à Hélène de Vestele en 2016 alors dans les bidonvilles de Buenos Aires… Revenue en France elle a lancé le premier « bootcamp » en 2017 à Paris. Edeni est une école de formation qui propose des expériences immersives pour passer de la sensibilité à l’action en matière de transition écologique intégrale. On parle de transition écologique « intégrale » car ces formations ne concernent pas que l’écologie au sens strict mais aussi la santé et l’éthique : le tiercé gagnant !! Il s’agit de mettre l’écologie au centre de notre vie mais aussi de repenser notre quotidien par rapport à notre santé et enfin prendre conscience de nos choix pour une consommation éthique. Edeni propose trois sortes de formations : le bootcamp, la formation ESE (Ecologie, Santé, Ethique) qui permet de transmettre à son tour et de devenir animateur d’un bootcamp et la retraite éco-sérénité (un voyage initiatique drôlement tentant !). Le bootcamp est une expérience de 6 semaines dans laquelle les participants vont pouvoir prendre leur temps : tous les mardis soirs pendant 3 heures ils vont pouvoir découvrir – via des modules, des exercices, des DIY, des conférences, des débats, des rencontres – comment améliorer leur vie d’abord pour eux et puis ensuite pour les autres, pour le collectif. Les participants vont bénéficier d’un véritable accompagnement pour prendre leur vie en main et passer à l’acte. Il ne s’agit pas de recevoir des connaissances mais plutôt d’expérimenter un savoir, une nouvelle façon de vivre car Edeni s’adresse autant à l’esprit, qu’au cœur et aux mains !! Déjà présent sur plusieurs villes en province comme Lyon, Toulouse ou Montpellier, Edeni ouvre ses portes à Marseille ce mois de janvier. Alors les Marseillais on passe à l’action ? Oui ou oui 🙂

Voir l’événement sur Facebook ICI.

Green Food : les restaurants éco-responsables

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Augustin, 21 ans, et Alexis, 27 ans, ont fondé le label Green Food, un label qui accompagne et référence les restaurants « éco-responsables » à travers la France entière. Un super outil pour les consommateurs qui peuvent ainsi savoir quels sont les restaurants engagés dans le développement durable. De plus en plus de gens essayent à la maison de consommer local, de saison et bio mais quand on va au resto… difficile quelquefois de vérifier la cuisine du chef ! Le label est là pour ça : il vous garantit l’engagement du restaurateur. En effet pour obtenir la récompense éco-responsable le restaurant doit valider la charte du label Green Food soit : utiliser obligatoirement des produits bio et locaux et répondre à au moins 6 des critères suivants : faire le tri des déchets, utiliser des produits écologiques pour le nettoyage, revaloriser ses invendus par le revente à moindre coût, revaloriser ses déchets organiques, s’engager à une gestion des stocks en flux tendus, réduire ses dépenses énergétiques, proposer un « doggy bag » pour les restes, s’approvisionner en énergie renouvelable et enfin proposer au moins un menu végétarien. En un an plus de 160 candidatures et 34 restaurants (dont des étoilés Michelin !) ont déjà obtenu le label dans une douzaine de villes différentes : Lyon, Nantes, Bordeaux, Rennes… et maintenant Marseille où deux établissements ont déjà obtenu le label : Succulentes Café et Tête de Chou. Souhaitons longue vie à ce nouveau label : qu’il inspire les chefs à se mettre à une cuisine éco-responsable à Marseille, en France et partout dans le monde… parce qu’il n’y a pas plus polluant que les restaurants tant pour notre santé que pour notre planète. Nous voulons du green dans nos assiettes 🙂

www.greenfood-label.com

L’économie bleue de Gunter Pauli

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Gunter Pauli est un entrepreneur belge, fondateur du réseau ZERI (Zero Emissions Research and Initiatives) qui a inventé le concept « d’économie bleue » et l’a popularisé dans un ouvrage du même nom publié en 2010 et dont une nouvelle édition revue et augmentée vient d’être publiée aux éditions de l’Observatoire, vantant les mérites de cette nouvelle économie avec 200 projets menés, 3 millions d’offres d’emplois créées et 5 milliards d’euros investis. Dans la nature, un écosystème de produit aucun déchet, ne gaspille rien, réutilise tout… Des milliers d’acteurs coopèrent de façon harmonieuse, chacun trouvant de quoi subvenir à ses besoins. La notion de chômage y est inexistante et l’énergie utilisée avec une efficacité qui a de quoi faire pâlir les meilleures technologies humaines, et le tout en n’utilisant évidemment que des ressources disponibles localement ! Appliquer ces principes à l’économie humaine serait éminemment vertueux, créateur de valeur sociale et écologique : c’est ce que promet l’économie bleue… c’est du bio-mimétisme, il suffit de copier la nature tout simplement ! D’après l’auteur on peut régénérer les écosystèmes, créer une harmonie sociale et une vie d’abondance en inspirant du fonctionnement du vivant, aux antipodes du modèle économique dominant. Quand chaque déchet devient une matière première, une source de revenus et de création d’emplois pour l’entreprise, quand on imagine un monde sans batterie plutôt que des batteries moins polluantes, que la nature nous apprend à régénérer au lieu de simplement préserver (au mieux), à se passer de chimie polluante et à utiliser harmonieusement les ressources locales, alors l’économie peut rêver de sauver le monde au lieu de le détruire. Souhaitons à ce nouvel ouvrage un énorme succès pour que tous ensemble on passe à l’économie bleue pour avoir une planète bien verte 🙂

L’économie bleue 3.0, Gunter Pauli, éditions de l’Observatoire, 2019.

L’enseignement de la forêt par Laurent Huguelit

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Si la forêt pouvait parler… qu’est-ce qu’elle nous dirait ? Sûrement d’arrêter le massacre !! Laurent Huguelit, chamane, écrivain et enseignant, nous partage dans son dernier ouvrage intitulé « Mère » (Mama éditions), ce qu’il a reçu comme message de la forêt amazonienne. C’est lors d’un séjour en Amazonie que l’auteur a été désigné porte-parole de la grande forêt par l’esprit de celle que les peuples indigènes appellent « Madre » ! Conformément au contrat spirituel qui s’est lié au sein de cette matrice végétale, Laurent Huguelit a mis sur papier les paroles, les visions, les impressions et les anecdotes que la forêt lui a demandé d’exprimer. C’est un enseignement prodigué par la nature qui nous est livré, un pèlerinage au cœur de la grande famille du vivant. On y croise, tour à tour, l’arbre ancestral, la clarté de la conscience, la compassion, les chamanes et leurs chants de guérison… mais également parce que tout doit être connu les affres de l’obscurité ! En fait l’intention de la forêt serait de rétablir le lien sacré qui relie l’humanité à la planète Terre, pour qu’une nouvelle conscience puisse émerger et pour que les enfants de la forêt retrouve leur mère, celle qui les a vu naître et grandir… pour qu’ils la respectent, la préservent et l’aiment. D’après l’auteur, dans son message l’esprit de la forêt a vite installé un sentiment d’urgence : « Nous savons qu’une menace pèse sur le vivant, mais nous n’appréhendons pas tout à fait encore avec quelle violence et quel déchaînement les forêts et les espèces qu’elles hébergent sont en train de disparaître. A force d’être coupé, exploité, le sol végétal de la biodiversité se trouve menacé. Si l’on ne fait rien, ce sera une catastrophe, car les forêts régulent tout sur Terre, y compris le climat, les pluies, les courants océaniques… j’ai trouvé remarquable que ce soit la forêt amazonienne, première victime de ce massacre, qui s’exprime. Pour une fois, les forces qui œuvrent en silence à la préservation du joyau qu’est la Terre se font entendre » a confié le chamane (Inexploré N° 44). Il serait temps de l’écouter 🙂

Mère, Laurent Huguelit, Mama éditions, 2019.

Une île flottante en bouteilles de plastique

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Voilà un projet écolo et très original !! A Abidjan, Eric Becker, un français, ancien entrepreneur informatique, a monté un hôtel restaurant sur la lagune qui repose sur 700 000 bouteilles en plastique et autres déchets récupérés dans la capitale économique de la Côte d’Ivoire. Ce Lorrain, originaire de Thionville, a tout vendu en 2012 pour se consacrer pendant six années à ce projet ambitieux… Il a passé d’abord tout son temps à récupérer dans les rues tout ce qui pouvait flotter en mer : bouteilles de plastique, chutes de polystyrène, claquettes, etc… ce qui lui a valu là-bas le surnom de « Eric Bidon » ! Ensuite le concepteur a réalisé de nombreux prototypes avant de réussir à faire flotter son bâtiment… L’île, d’une superficie d’environ 1000 m2 est ceinturée par un pont circulaire de 260 mètres de circonférence, ce qui permet aux bateaux d’accoster facilement. Elle pèse environ 200 tonnes avec en son centre une sorte de base en béton allégé ; elle flotte mais peut aussi de déplacer… Les bouteilles vides sont coincées dans des palettes fixées les unes sur les autres pour former la structure de l’île, puis recouvertes d’une ossature en bois et ciment allégé. Elle est équipée en panneaux solaires et possède une dizaine d’espèces végétales pour faire pousser de la verdure sur l’eau. Voilà du « up-recycling » intéressant ou comment donner une seconde vie à tout ce plastique… et cela est d’autant plus utile que la ville d’Abidjan est envahie de déchets… et les touristes apprécieront de boire un verre, se restaurer ou même dormir sur la lagune en flottant 🙂

Facebook : L’île flottante 

Entrepreneurs Pour La Planète c'est parti !

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Voilà une belle idée qui va dans le bon sens : du mécénat de compétences pour des projets environnementaux ! C’est récemment qu’a eu lieu à Marseille le lancement officiel du Mouvement Entrepreneurs Pour La Planète, le premier mouvement philanthropique qui met en relation de brillants chefs d’entreprises avec des porteurs de projets pour la planète sur un même territoire, en l’occurrence les Bouches-du-Rhône. Une plateforme a ainsi été dédiée à la mise en relation de ces chefs d’entreprises désireux de s’engager pour une cause environnementale et des créateurs de projets en quête de savoir-faire entrepreneurial pour développer leurs activités. Plus de 300 personnes (chefs d’entreprises appelés « ambassadeurs », dirigeants, porteurs de projets, élus, partenaires, institutions…) étaient rassemblés lors du lancement officiel autour de Christophe Caille, le fondateur du mouvement et co-fondateur de Cap Vert Energie et de la marraine d’EPLP, Martine Vassal, présidente du Département. L’objectif du mouvement est doublement intéressant : d’une part faire émerger et se développer des solutions écologiques innovantes et d’autre part faire prendre conscience aux dirigeants des entreprises leur responsabilité et leur possibilité d’action dans l’avenir de la planète. Et puisque de plus en plus de consommateurs choisissent dorénavant les marques en raison de leur impact environnemental, les acteurs de la production ont besoin de s’adapter à cette modification du comportement et cette évolution de la sensibilité verte. Pour que tout le monde participe à la transition écologique main dans la main et construise ensemble le nouveau monde de demain ! Pour n’en citer que quelques uns, côté ambassadeurs : Emmanuelle Champaud (Totem Mobi), Corinne Vezzoni (Cabinet Architecture) ou Thomas Arnaud (Metsens) par exemple… côté porteurs de projets : Laurent Debas (Planète Mer), Deborah Pardo (Earthship Sisters)… ou Agnès Olive pour Marseille Vert 🙂

www.entrepreneurspourlaplanete.org

Extinction Rebellion : se rebeller pour sauver le Vivant

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Extinction Rebellion, souvent abrégé en « XR », est un mouvement social écologiste qui revendique la désobéissance civile en s’appuyant sur des actions « coups de poing » non violentes afin d’inciter les gouvernements à agir contre le réchauffement climatique et ses conséquences. Le mouvement qui est né au Royaume-Uni en mai 2018, puis s’est étendu dans plusieurs pays et grandes villes européennes, a pris aujourd’hui une dimension internationale avec l’Afrique du Sud, les Etats-Unis, l’Australie… Bien qu’il soit difficile de recenser exactement le nombre de militants, il regrouperait aujourd’hui plus de 100 000 militants répartis dans 70 pays, dont 10 000 en France. Le mouvement est souvent qualifié de radical car effectivement il prône une radicalité assumée face à l’inertie des politiques et l’urgence que nous avons à changer le monde ! Leurs quatre revendications principales sont les suivantes : ils exigent la reconnaissance de la gravité et de l’urgence des crises écologiques actuelles et une communication honnête sur le sujet ; la réduction immédiate des émissions de gaz à effet de serre pour atteindre la neutralité carbone en 2025, grâce à une réduction de la consommation et une descente énergétique planifiée ; l’arrêt immédiat de la destruction des écosystèmes océaniques et terrestres à l’origine d’une extinction massive du monde vivant ; la création d’une assemblée citoyenne chargée de décider des mesures à mettre en place pour atteindre ces objectifs et garante d’une transition juste et équitable. Ils ont choisi un logo très parlant : noir pour le deuil suite à la destruction massive de la vie sur terre et vert pour l’écologie… le sablier quant à lui évoque bien évidemment l’urgence d’agir !! Leurs actions se veulent choquantes pour sensibiliser mais toujours non-violentes comme des « die-in » dans des lieux symboliques, les activistes choisissent parfois de déverser du faux sang (sur les marches du Trocadéro par exemple) ou se jettent dans le canal au passage du roi des Pays-Bas, ils s’enchaînent aux grilles de la Chancellerie allemande… Soutenu par de nombreuses personnalités politiques et écologistes dans le monde, mais aussi par des artistes, des scientifiques et universitaires, le collectif a reçu pas mal de financements de la part de sympathisants. Encore un mouvement intéressant qui participe bien à vouloir changer le monde et sauver la planète. On soutient bien évidemment : tous rebelles pour le Vivant 🙂

Transfarmers : le pot de fleurs composteur

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Voilà c’est toujours pareil : c’est tout simple, il suffisait juste d’y penser, il fallait avoir l’idée !! Cette idée c’est quatre copains qui l’ont eue en France (cocorico) !! Transfarmers c’est la contraction des mots « transformer » en français et « farmer » (paysan en anglais) ; un transfarmer en franglais c’est quelqu’un qui transfarme… des déchets en engrais pour les plantes ! Il s’agit d’un pot de fleurs qui fait composteur ou d’un composteur qui sert pour les fleurs : à l’intérieur du pot les plantes se nourrissent des épluchures du quotidien à la maison. Le pot est constitué de deux parties communicantes grâce à une paroi perforée permettant les échanges entre le côté « compost » où vont les épluchures et le côté « pot de fleurs » où vivent les plantes en terre. Les plantes vont capter l’eau et les nutriments du compostage, si bien qu’on n’a même plus besoin de les arroser, c’est la double gagne ! On peut tout y mettre : nos épluchures de fruits et légumes, thé, marc de café, coquilles d’œufs : tout ce qui est organique. Le pot de fleurs composteur peut recevoir les déchets végétaux d’environ deux personnes, donc si on est plus nombreux on en met plusieurs… Et il faut savoir aussi que les petits vers qui vont vivre dedans ne vont pas envahir votre salon mais rester bien au chaud dans leur pot car une fois bien installés et bien nourris, ils s’épanouissent dans leur milieu et régulent leur population selon les apports. Pas bêtes les petites bêtes !! Sinon on peut le mettre aussi dehors. Enfin pour que tout soit parfait, les pots sont fabriqués de manière artisanale par un céramiste dans l’Aube, labellisé Entreprise du Patrimoine Vivant, avec de la terre rouge de Champagne et ils sont très beaux !! Pour ne plus jamais jeter nos déchets organiques : de l’or pour la Nature comme pour nous 🙂

www.transfarmers.fr


Livres on Partage recycle pour les enfants

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Recycler les livres pour enfants… voilà encore une belle initiative à Marseille ! Et nous pouvons tous y participer, petits et grands. Créée l’année dernière par Karine Bruno, l’association « Livres on Partage » a pour ambition de permettre à tous les petits marseillais d’avoir accès aux livres et de prendre goût à la lecture. Il s’agit de remettre le livre au cœur de la vie des enfants car « un enfant qui lit sera un adulte qui pense » (Flore Vasseur) et un enfant qui lit est un enfant qui rêve, qui imagine, qui invente… loin des écrans ! Et puis autre bénéfice important de LOP : cela permet de donner plusieurs vies aux livres Jeunesse, autant de vies qu’ils passeront dans de petites mains différentes. Le principe est de collecter les livres toute l’année dans les entreprises, associations, écoles, bureaux, commerces… et de les échanger entre particuliers autour d’une belle bibliothèque installée dans l’établissement avec des matériaux de recyclage évidemment ! Que ce soit les salariés, les fournisseurs, les clients ou les patients, tout le monde apporte ses vieux livres pour enfants et en récupèrent de nouveaux pour inciter toujours plus nos bambins à bouquiner, des échanges qui créent aussi du lien dans ces lieux où l’on travaille ensemble. Une fois par an Livres on Partage récupère tous les ouvrages et les redistribue aux structures éducatives qui en manquent hélas parfois cruellement dans notre ville… Cette fin d’année Livres on Partage sera partenaire d’Ecosapin, le sapin de Noël écolo livré chez vous et récupéré après les fêtes pour être replanté : comme ça on sauve la vie des livres et des arbres aussi ! Livres on Partage c’est solidaire, culturel et circulaire et c’est tout ce qu’on aime 🙂

www.livresonpartage.com

Photo @Audrey Garaffa